Dossier Unesco

Le projet de candidature du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial de l’UNESCO

La Conférence transfrontalière Mont-Blanc a lancé le projet de candidature du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial de l'UNESCO, poursuivant l'objectif de garantir à cet espace transfrontalier une reconnaissance internationale, à la hauteur des valeurs uniques qu'il symbolise du point de vue naturel, paysager et culturel.

Les nombreuses années de coopération et de projets réalisés par l'Espace Mont-Blanc ont préparé les territoires à répondre aux exigences de cette candidature, permettant aussi bien de constituer le réseau d'expériences et de connaissances nécessaires à appuyer le processus d'inscription pour les aspects techniques et scientifiques.

Le projet d'inscription du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial de l'UNESCO impliquera en premier lieu les collectivités locales et régionales, en valorisant les trois piliers du développement durable - environnement, société et économie - dans ses orientations stratégiques.

Vice-Présidents Espace Mont-Blanc

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Unesco

Unesco

La Convention

La Convention de 1972 concernant la protection du patrimoine mondial culturel et naturel a été adoptée par l'UNESCO en 1972. Elle engage les États qui l'ont ratifiée à préserver le patrimoine culturel et naturel situé sur leur territoire en instituant des systèmes et des politiques d'identification, protection, conservation et de mise en valeur.

La Liste

La Liste du Patrimoine Mondial désigne les biens culturels et naturels qui présentent un intérêt exceptionnel pour l'héritage commun de l'humanité, étant caractérisés par une valeur universelle exceptionnelle selon les critères établis par la Convention. La Liste est actualisée chaque année depuis 1978.

La V.U.E.

Selon l'UNESCO, la Valeur Universelle Exceptionnelle (V.U.E.) se caractérise par « une importance naturelle et/ou culturelle tellement exceptionnelle qu'elle transcende les frontières et qu'elle présente le même caractère inestimable pour les générations actuelles et futures de l'ensemble de l'humanité ».

Historique du dossier

Les grandes étapes d’une démarche collective et cohérente

L'inscription du Mont-Blanc au titre du Patrimoine Mondial de l'UNESCO viendrait consolider la cohérence du parcours de coopération trinationale que les territoires ont construit pour préserver et garantir la transmission d'un héritage exceptionnel.

  • 1991

    Mise en place de la Conférence Transfrontalière Mont-Blanc

    L'objectif majeur de l'Espace Mont-Blanc est ainsi défini : « la valorisation des éléments essentiels du patrimoine socio-culturel, la protection des paysages d'une beauté exceptionnelle, la préservation des biotopes importants sur le plan animalier et végétal, la gestion intégrée et cordonnée du massif du Mont-Blanc, la délimitation du périmètre ».

  • 1998

    Visite de la Commission « gestion des flux touristiques » de l’ICOMOS

    La Commission effectue une visite de terrain dans les vallées Veny et Ferret de Courmayeur afin de connaître l'expérience de gestion du trafic. L'idée d'une candidature du Mont-Blanc à l'UNESCO est encouragée par les experts de l'ICOMOS.

  • 2000

    Liste indicative de la France

    Inscription du Mont-Blanc sur la Liste Indicative de la France du Patrimoine Mondial UNESCO (site mixte naturel-culturel).

  • 2002

    Approbation de la Stratégie sur les Milieux sensibles

    La Stratégie commune de sauvegarde des milieux sensibles et des paysages de l'Espace Mont-Blanc définit un périmètre et des objectifs de protection et valorisation du Mont-Blanc par zone-type : le Massif (zone N1, noyau central) est caractérisé par des valeurs paysagères demandant une protection de niveau international ; les territoires naturels ou semi-naturels entourant le Massif (zone N2 recelant en particulier des espaces protégés) requièrent un dispositif transfrontalier de gestion.

  • 2004, novembre

    Recommandation de l’Union Internationale de Conservation de la Nature

    L'IUCN, réunie à Bangkok dans lecadre de son Congrès mondial, se positionne favorablement sur la candidature du Mont-Blanc et demande aux Gouvernements français, italien et suisse « d'engager résolument le processus devant conduire à la présentation, coordonnée par les trois Etats, d'un dossier d'inscription du Massif du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial de l'UNESCO ».

  • 2005

    Lettre du Comité français de l’IUCN aux trois Vice-présidents de l’Espace Mont-Blanc

    Le Comité français de l'IUCN reconnaît le travail effectué par la Conférence transfrontalière Mont-Blanc en faveur de la valorisation et de la protection du Massif et son rôle moteur pour gérer le processus de candidature.

  • 2006

    Approbation du Schéma de Développement durable

    Document stratégique articulé en dix axes thématiques et un plan d'actions concrètes, le Schéma de Développement durable de l'Espace Mont-Blanc indique les éléments essentiels visant une candidature des territoires du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial et/ou Réserve de Biosphère de l'UNESCO.

  • 2007, mars

    Positionnement de la Région Rhône-Alpes

    La Région demande que « le Massif du Mont-Blanc, reconnu d'intérêt international tant pour ses paysages que pour son patrimoine naturel et porteur d'un projet de développement durable, soit proposé par l'Etat, en concertation avec les collectivités locales et porté auprès des instances de l'UNESCO pour un classement en site du Patrimoine Mondial de l'Humanité ».

  • 2007, novembre

    Positionnement de la Communauté de Montagne Valdigne Mont-Blanc

    Le Conseil des Syndics de la Communauté de Montagne Valdigne Mont-Blanc, signent un Protocole visant la candidature du Mont-Blanc en tant que site naturel du Patrimoine Mondial UNESCO, d'entente entre les collectivités territoriales et l'Etat.

  • 2008

    Liste indicative de l’Italie

    Inscription du Mont-Blanc sur la Liste Indicative de l'Italie du Patrimoine Mondial UNESCO (site naturel transfrontalier).

  • 2009

    Démarrage du Plan Intégré Transfrontalier

    Financé dans le cadre du Programme européen ALCOTRA, le PIT de l'Espace Mont-Blanc, d'une durée de 3 ans est composé de 6 projets de territoire, dont le projet « Camp de base » prévoit l'élaboration du Plan de gestion « qui doit être compatible avec les lignes d'actions établies par l'UNESCO de façon à ce qu'il soit utilisable pour la présentation de la candidature au Patrimoine Mondial de la zone N1 ».

  • 2010

    Recommandations des experts de la Convention Alpine sur la candidature du Mont-Blanc

    Le groupe de travail « Candidatures UNESCO » de la Convention Alpine, réuni à Berne, formule des recommandations sur la candidature du Mont-Blanc, relevant soncaractère emblématique, la renommée internationale, les caractéristiques esthétiques et géologiques singulières.

  • 2012

    Elaboration du Plan de Gestion, réunions territoriales ouvertes à tout public et entretiens avec les forces vives locales

    La concertation, pierre angulaire du Plan de Gestion, confirme l'importance d'engager des démarches tenant compte de trois types d'espaces : le Massif glaciaire emblématique, les Vallées rapprochées urbanisées, les Espaces associés et portes d'entrée.

  • 2013

    Approbation de la Stratégie pour l’avenir du Massif du Mont-Blanc

    Le Plan de Gestion se concrétise par la définition d'une Stratégie de valorisation et gestion du territoire, portant notamment réponse à la question de la “labellisation” du Massif (au titre des Opérations Grand Site, du Patrimoine Mondial de l'Unesco ou de la réserve de Biosphère).

  • 2017, 26 janvier

    Délibération du Conseil municipal de Chamonix

    Les élus de Chamonix Mont-Blanc demandent à l'unanimité l'inscription du Massif du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial de l'UNESCO, dans le but d'obtenir toute l'attention méritée pour ce territoire.

  • 2017, 25 février

    Soutien de Madame la Ministre française à l’Environnement

    Lors de sa visite officielle à Chamonix, Madame la Ministre française à l'Environnement Ségolène Royal annonce son soutien au projet de candidature du Mont-Blanc à l'Unesco.

  • 2017, mai

    Reprise du dossier UNESCO par l’Espace Mont-Blanc

    Le Comité exécutif de l'Espace Mont-Blanc confirme l'intérêt transfrontalier de la candidature et établit une feuille de route pour lancer le processus.

  • 2017, 24 octobre

    Déclaration d'intention

    Les collectivités territoriales de la Conférence transfrontalière Mont-Blanc, réunies à Chamonix, expriment la volonté commune de lancer le processus de candidature du Massif du Mont-Blanc au Patrimoine Mondial de l'UNESCO.

  • 2018, 11 décembre

    Approbation de la piste de candidature du Mont Blanc comme paysage culturel

    Après évaluation des études réalisées par une équipe d'experts des trois Pays, la Conférence transfrontalière Mont-Blanc, réunie à Martigny, se positionne en faveur d'une candidature du Massif du Mont-Blanc au titre de « Paysage culturel », en se focalisant sur la relation de l'homme à la montagne.

  • 2019 - 2020

    Mission "Valeur Universelle Exceptionnelle"

    Une équipe italo-franco-suisse d'experts UNESCO est missionnée pour définir la "Valeur Universelle Exceptionnelle" (V.U.E.) du Mont-Blanc en tant que Paysage culturel, en identifiant les attributs potentiels susceptibles de répondre aux critères UNESCO.

  • 2020, septembre

    Validation du Rapport final transfrontalier V.U.E.

    Le Comité Exécutif valide le Rapport final transfrontalier sur la V.U.E., contenant une analyse fine des caractéristiques paysagères, culturelles et environnementales du Mont-Blanc conçue selon les rigoureux critères requis par l'UNESCO.

  • fin 2020, 2021

    Consultation des trois Etats

    Sur la base du Rapport final, les services compétents des Etats français, suisse et italien sont questionnés afin d'évaluer la possibilité d'insérer le Mont-Blanc dans leurs Listes indicatives des sites destinés à déposer prochainement une candidature, avec leur appui.

Le projet de candidature en 10 questions

L'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la Science et la Culture (U.N.E.S.C.O.) a été créée en 1945, avec l'objectif de maintenir la paix entre les peuples.

La Convention de l'UNESCO sur le Patrimoine mondial a pour origine la campagne internationale menée en 1959 pour sauver, en Haute-Egypte, les temples d'Abou Simbel. Cette première campagne a entraîné une prise de conscience au niveau international sur la notion de « patrimoine » concrétisée par l'adoption de la « Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel », lors de la Conférence générale de l'UNESCO, à Paris le 16 novembre 1972. Les Etats qui ont signé la Convention sont actuellement 193.

Le principe de l'interaction entre l'être humain et la nature et le besoin fondamental de préserver l'équilibre entre les deux constitue la caractéristique la plus originale de la Convention et son principe fondateur. Principe qui sera non seulement maintenu mais développé dans les orientations successives qui guideront la mise en œuvre de la Convention depuis son approbation.

L'inscription d'un bien sur la Liste du Patrimoine mondial signifie que le Comité du Patrimoine mondial a estimé que le bien en question possède des valeurs culturelles ou naturelles qui peuvent être considérées comme ayant une Valeur Universelle Exceptionnelle (V.U.E.). 

La Valeur Universelle Exceptionnelle (V.U.E.) est au cœur de l'inscription au Patrimoine mondial. La VUE est ainsi définie par l'article 49 de la Convention : « Une importance culturelle et/ou naturelle tellement exceptionnelle qu'elle transcende les frontières et qu'elle présente le même caractère inestimable pour les générations actuelles et futures de l'ensemble de l'humanité ».

La VUE du bien proposé à l'inscription doit combler une lacune de la Liste du Patrimoine mondial.

Trois catégories de sites ont été définies par la Convention dès son adoption : les sites culturels, les sites naturels et les sites mixtes (naturels et culturels). En 1992, lors du 20ème anniversaire de la Convention, une quatrième catégorie a été adoptée, celle des paysages culturels, soulignant ainsi le caractère du lien existant entre l'identité culturelle et son environnement naturel.

Selon le type de bien, la candidature est évaluée par l'un des deux organes consultatifs de l'UNESCO : l'ICOMOS (Conseil International des Monuments et des Sites) pour les biens culturels ou l'IUCN (Union Internationale de Conservation de la Nature) pour les biens naturels, et par les deux dans le cas d'un bien mixte.

Les biens transfrontaliers ne constituent pas une catégorie en soi, mais ils offrent la possibilité de regrouper en un ensemble unique tous les biens et attributs qui présentent une VUE, quelles que soient les frontières politiques. Ils donnent ainsi un exemple de coopération internationale et pacifique en faveur d'un patrimoine partagé par plusieurs pays et encouragent une telle coopération.

Par ailleurs, les biens immatériels font l'objet de la « Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel », adoptée par l'UNESCO le 17 octobre 2003, qui vise plutôt la protection « des pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire – ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés – que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel ».

La première étape pour faire démarrer le processus d'inscription est l'enregistrement du site sur la Liste nationale indicative. La liste Indicative constitue un état prévisionnel des biens que l'Etat-partie peut décider de proposer pour inscription au cours des 5 à 10 années à venir : elle peut être mise à jour à tout moment.

La deuxième étape est l'élaboration d'un dossier de candidature, document d'envergure, très exhaustif, argumentant, par le biais d'études scientifiques, la Valeur Universelle Exceptionnelle du Bien proposé, y compris son intégrité et son authenticité, et démontrant que ses caractéristiques répondent au(x) critère(s) demandé(s) par l'UNESCO. Le dossier de candidature fournit aussi le plan de gestion du site à long terme.

Le dossier de candidature arrivé à maturité sera déposé et examiné pour avis par la ou les organisations gouvernementales responsables de la mise en œuvre de la Convention.

La décision finale revient au Comité du Patrimoine mondial (rendue, en moyenne, un à deux ans après le dépôt du dossier). Lors de sa session ordinaire annuelle, il décide d'inscrire, de ne pas inscrire, de renvoyer ou de différer les biens proposés.

Non.  La Conférence Transfrontalière Mont-Blanc, réunie le 24 octobre 2017 à Chamonix, a décidé de lancer le processus préalable à la présentation, coordonnée par les trois États, d'un dossier d'inscription transfrontalier du massif du Mont-Blanc sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO, s'engageant à concerner la population et les acteurs locaux et à valoriser les trois piliers du développement durable dans les orientations stratégiques du dossier de candidature.

Cette phase d'étude préalable est appelée à fournir les éléments nécessaires à l'identification de la Valeur Universelle Exceptionnelle du site, ainsi qu'au choix sur la typologie du classement (bien naturel, paysage culturel ou site sériel, soit faisant parte d'une série de sites) et sur le périmètre.

Le Mont-Blanc est déjà inscrit sur la Liste Indicative (dès l'année 2000, il figure sur la Liste de la France en catégorie mixte, dès 2008 sur la Liste italienne comme site naturel transfrontalier). La phase préalable devra aussi aboutir à une mise à jour et harmonisation de l'inscription du Mont-Blanc sur les Listes indicatives des trois Pays concernés, ce qui constitue la première véritable étape du processus l'inscription.

La candidature doit être déposée au Comité international de l'UNESCO par les Etats. A' l'issue de la phase préalable, il s'agira d'identifier, entre la France, la Suisse et l'Italie, quel Etat va s'engager en premier pour présenter le dossier, sachant qu'à partir de 2019, chaque Etat aura le droit de présenter une seule candidature par année. Des négociations et des évaluations d'opportunité sont en cours afin d'identifier l'Etat porteur du dossier.

Le périmètre et les zones tampon éventuelles sont étroitement liés au choix sur la typologie de classement : bien naturel, paysage culturel ou site sériel. Le ou les périmètres font l'objet de réflexions approfondies, intégrant des éléments de valeurs paysagères et naturelles, de cohérence territoriale et d'enjeux d'aménagement spatial avec les ambitions des collectivités concernées.

Un rapprochement avec d'autres sites UNESCO a permis de vérifier que la procédure d'élaboration du dossier et d'implication des populations est assez articulée. Pour le site Swiss Alps Jungfrau-Aletsch, il a fallu 8 ans, pour le site italien des Dolomites 6 ans. L'élaboration du dossier de candidature du site transfrontalier Alpes Maritimes – Mercantour, après son inscription dans les Listes indicatives des deux Etats, a pris de 2012 à 2017, pour un dépôt accompli en février 2018.

Suite au dépôt par les Etats, il faut compter 2 ans pour la décision du Comité international du Patrimoine mondial.

La maquette prévisionnelle des ressources à consacrer au dossier est un des résultats attendus de la phase préparatoire lancée par la CTMB.

Les montants liés aux études et expertises nécessaires seront répartis en transfrontalier entre les parties prenantes, sachant que l'Espace Mont-Blanc prévoit de valoriser les études déjà effectuées et de mobiliser ses réseaux techniques et scientifiques transfrontaliers.  L'UNESCO ne dégage pas de financements pour les candidatures, ni des financements ad hoc.

Le dossier de candidature est un document complexe, comprenant notamment l'argumentation scientifique de la VUE du site, l'analyse comparative démontrant son unicité par rapport aux autres sites similaires (inscrits ou non au Patrimoine mondial, à l'échelle mondiale),  l'évaluation de l'authenticité et de l'intégrité, le plan de gestion et de gouvernance.

Il est envisagé de confier son élaboration à une équipe de travail technique et scientifique transfrontalière, pilotée par les collectivités régionales et locales concernées et les parties prenantes. Les études, les informations et les récoltes de données élaborées à l'échelle transfrontalière au fil des années pourront être exploitées.

La Conférence transfrontalière Mont-Blanc vise l'intégration de toutes les parties concernées et la participation active du territoire à l'élaboration du dossier de candidature.

Le parcours de candidature

  • Lancement du processus préalable à la candidature par les collectivités territoriales
  • Identification de la Valeur Universelle Exceptionnelle du Mont-Blanc
  • Harmonisation de l’inscription du Massif du Mont Blanc dans les Listes indicatives de France, d’Italie et de Suisse
  • Elaboration du dossier de candidature
  • Dépôt du dossier de candidature auprès du Comité du Patrimoine Mondial de l’UNESCO
  • Examen par la ou les organisations gouvernementales responsables de la mise en œuvre de la Convention
  • Décision finale du Comité du Patrimoine Mondial

Documents et études de référence

Déclaration d'intention Mont-Blanc UNESCO

Déclaration d'intention des collectivités régionales et locales de la Conférence transfrontalière Mont-Blanc sur le lancement du projet de candidature du Mont-Blanc au Patrimoine mondial de l'UNESCO.

document pdf (1.749 KB)

Prise de position candidature du Mont-Blanc Paysage culturel

Prise de position de la CTMB pour le projet de candidature du massif du Mont-Blanc à l'UNESCO comme Paysage culturel.

document pdf (355 KB)

Rapport final Liste indicative 2020

Candidature au Patrimoine mondial du Massif du Mont-Blanc. Mission transfrontalière pour l'élaboration et la rédaction du formulaire de la liste indicative. Rapport final validé par le Comité exécutif de la CTMB. Septembre 2020.

document pdf (9.023 KB)

Pays du Mont-Blanc
Vallée de Chamonix
Région Autonome Vallée d'Aoste
Canton du Valais
Conseil Savoie Mont Blanc
République Française
Union Européenne
Alcotra
Repubblica Italiana
Confédération Suisse